Le meilleur de nos fils - Donna Leon
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Un élève d’une académie militaire est
retrouvé pendu dans les vestiaires. Brunetti, chargé de l’enquête, ne croit pas
au suicide. Il faut dire que le garçon est le fils d’un ancien député qui avait
publié un rapport dénonçant le système de santé vénitien, rapport qui lui avait
valu des menaces et mené à sa démission. De plus, son épouse, dont il vit séparé, a été victime d'un accident de chasse à la même période. Beaucoup de "coïncidences" pour le héros de Donna Leon.
Ce n’est que le second roman de D. Leon que je lis (après Mort à la Fenice) mais ce fut un plaisir. L’intrigue est bien menée, même si les choses se déroulent assez lentement et sans beaucoup d’action. Pas très sexy ? Peut-être, mais il y a un je-ne-sais-quoi qui fait continuer la lecture, une ambiance qui donne envie de foncer quelques jours à Venise, des personnages attachants (Brunetti et sa famille, la secrétaire de la questure), des couleurs et odeurs que l’on arrive très bien à imaginer, un mélange d’amour pour Venise et de dénonciation de magouilles à l’italienne. L’atmosphère du roman est toutefois sombre et la fin ne se termine pas comme on pourrait si attendre (l’énigme est résolue mais…).
Bref, un bon moment de lecture !
Ce n’est que le second roman de D. Leon que je lis (après Mort à la Fenice) mais ce fut un plaisir. L’intrigue est bien menée, même si les choses se déroulent assez lentement et sans beaucoup d’action. Pas très sexy ? Peut-être, mais il y a un je-ne-sais-quoi qui fait continuer la lecture, une ambiance qui donne envie de foncer quelques jours à Venise, des personnages attachants (Brunetti et sa famille, la secrétaire de la questure), des couleurs et odeurs que l’on arrive très bien à imaginer, un mélange d’amour pour Venise et de dénonciation de magouilles à l’italienne. L’atmosphère du roman est toutefois sombre et la fin ne se termine pas comme on pourrait si attendre (l’énigme est résolue mais…).
Bref, un bon moment de lecture !
Donna Leon (née en 1942) est Américaine
et vit depuis le début des années 80 à Venise. Détail
amusant, ses livres sont traduits en plusieurs langues mais pas en italien, car
elle tient à son anonymat.
(éd. Calmann-Levy, 2006)
(photo auteur : site Le Figaro)
(éd. Calmann-Levy, 2006)
(photo auteur : site Le Figaro)
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